SRC (Santé Rurale au Congo)

 

Santé Rurale Congolaise (SRC) est une organisation engagée dans l’amélioration des soins de santé en milieu rural en République Démocratique du Congo. Créée en 1999 et financée sur fonds propres, elle a pour devise “un peuple sain et épanoui, c’est un potentiel nécessaire pour le développement d’un pays”. Son action s’étend sur plusieurs provinces, notamment la Tshopo, l’Équateur, la Mongala, la Tshuapa et le Kongo Central, où elle œuvre pour offrir des soins médicaux de qualité aux populations locales, souvent éloignées des grands centres hospitaliers.

 

L’hôpital Santé Rurale Congolaise d’Imbolo, situé dans le territoire d’Isangi, province de la Tshopo, est le principal établissement médical de la région. D’une capacité d’environ 200 lits, il prend en charge aussi bien les travailleurs de la société Busira Lomami (BLO), filiale du Groupe Blatner Elwyn Agri (GBE Agri), que les habitants des villages environnants. Doté d’un plateau technique moderne, cet hôpital assure des soins pour diverses pathologies, qu’elles soient liées ou non aux activités agricoles.

 

Au-delà de cet hôpital, SRC dispose d’un vaste réseau médical comprenant trois hôpitaux généraux de référence, sept centres médicaux et 34 de santé répartis dans les différentes provinces où elle est présente. Cette organisation joue un rôle central dans la stratégie globale du développement rural menée par le groupe GBE Agri, en collaboration avec les planteurs indépendants et les différentes sociétés du groupe. Son approche intégrée permet non seulement d’améliorer l’accès aux soins mais aussi de renforcer la résilience des communautés rurales grâce à une prise en charge sanitaire adaptée à leurs besoins.

L’ONG SRC intervient également dans les sept divisions agricoles où sont implantées les sociétés du groupe, notamment à Tshela, Imbolo, Yalusaka, Basankusu, Lisala, Ndeke, Binga et Bosondjo. Grâce à cette couverture étendue, elle assure un accès aux soins à des milliers de personnes vivant en milieu rural, contribuant ainsi à la réduction des inégalités sanitaires et à l’amélioration des conditions de vie des populations locales.